(1974 - Atlantic)
Si on m'avait cité ce groupe sans que je n'entende auparavant, par le plus grand des hasards, (1) ces 5,16 minutes de pur bonheur, j'aurais probablement eu la même réaction que les personnes auxquelles je le cite aujourd'hui. Le seul énoncé de ce groupe provoque systématiquement un « houlà » suivi d'un soupir entendu. Premier indice qu'il ne l'a pas été.
Unique album de ce groupe américain, Funk Factory propose l'un des meilleurs jazz-rock qu'il m'ait été donné d'entendre. Un pur joyaux qui peut aisément se ranger aux côtés de Spectrum ou de Head Hunters, pour rester dans ce style « afro-américain ». (2)
Cerise sur le gâteau, pour peu qu'on s'y penche : cet unique album en cache des dizaines puisque nous y retrouvons, entre autres, Michal Urbaniak et Urszula Dudziak, tous deux nés en Pologne en 1943 et respectivement auteurs de 44 et 22 albums, (3) tout en ayant joué avec de grands noms. (4)
Et s'ils jouent dans cet album, ils en sont également les producteurs.
L'album : Funk Factory.
Musiciens :
- Michal Urbaniak : saxophones, violon
- Urszula Dudziak : voix, percussions, synthétiseur
- Bernard Kafka : voix
- Wlodek Gulgowski : claviers, piano, Moog
- Anthony Jackson : basse
- Steve Gadd : batterie
- Barry Finnerty : guitare
- Gerald Brown : batterie
- B. K. Singers : voix
- Irene Howard : voix
- Tony Levin : basse
- John Abercrombie : guitare
(B. K. Singers : Laura Tequila Logan, Ann Tripp, Bill Ruthenberg et Bernard Kafka)
(1) Merci FIP, c'était un matin vers 10h00 dans une camionnette de La Poste, il y a quelques années (et j'ai signé la pétition).
(2) J'assume.
(3) Ce sont les chiffres donnés sur les pages de Wikipédia, mais la discographie de Michal Urbaniak est simplement impressionnante.
(4) Comme Bobby McFerrin, Billy Cobham, Chick Corea, George Benson, Herbie Hancock, Larry Coryell, Marcus Miller, Quincy Jones, Ron Carter, Wayne Shorter et Weather Report, pour ceux que je connais.
Si on m'avait cité ce groupe sans que je n'entende auparavant, par le plus grand des hasards, (1) ces 5,16 minutes de pur bonheur, j'aurais probablement eu la même réaction que les personnes auxquelles je le cite aujourd'hui. Le seul énoncé de ce groupe provoque systématiquement un « houlà » suivi d'un soupir entendu. Premier indice qu'il ne l'a pas été.
Unique album de ce groupe américain, Funk Factory propose l'un des meilleurs jazz-rock qu'il m'ait été donné d'entendre. Un pur joyaux qui peut aisément se ranger aux côtés de Spectrum ou de Head Hunters, pour rester dans ce style « afro-américain ». (2)
Cerise sur le gâteau, pour peu qu'on s'y penche : cet unique album en cache des dizaines puisque nous y retrouvons, entre autres, Michal Urbaniak et Urszula Dudziak, tous deux nés en Pologne en 1943 et respectivement auteurs de 44 et 22 albums, (3) tout en ayant joué avec de grands noms. (4)
Et s'ils jouent dans cet album, ils en sont également les producteurs.
L'album : Funk Factory.
Musiciens :
- Michal Urbaniak : saxophones, violon
- Urszula Dudziak : voix, percussions, synthétiseur
- Bernard Kafka : voix
- Wlodek Gulgowski : claviers, piano, Moog
- Anthony Jackson : basse
- Steve Gadd : batterie
- Barry Finnerty : guitare
- Gerald Brown : batterie
- B. K. Singers : voix
- Irene Howard : voix
- Tony Levin : basse
- John Abercrombie : guitare
(B. K. Singers : Laura Tequila Logan, Ann Tripp, Bill Ruthenberg et Bernard Kafka)
(1) Merci FIP, c'était un matin vers 10h00 dans une camionnette de La Poste, il y a quelques années (et j'ai signé la pétition).
(2) J'assume.
(3) Ce sont les chiffres donnés sur les pages de Wikipédia, mais la discographie de Michal Urbaniak est simplement impressionnante.
(4) Comme Bobby McFerrin, Billy Cobham, Chick Corea, George Benson, Herbie Hancock, Larry Coryell, Marcus Miller, Quincy Jones, Ron Carter, Wayne Shorter et Weather Report, pour ceux que je connais.
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