(2017 - Nonesuch Records)
Pour ce huitième album, le génial pianiste arménien revient vers le jazz mais de manière plus sobre que dans Mockroot (2014). (1)
Ici, à l'exception de mélodies chantées ou de rythmes également effectués vocalement, c'est au piano et à la dextérité de l'artiste que revient la part belle.
Cependant, Tigran Hamasyan est loin de renier ses autres influences et prend un plaisir évident à les mêler toutes.
Si l'« aspect rock » de sa musique est moins frappant, l'influence de la tradition arménienne ne cède pas un pouce de terrain, quelques effets (2) venant s'ajouter et le talent de composition de l'auteur en font une chose reconnaissable entre toutes.
L'une de celles qui me semblent les plus intéressantes et enthousiasmantes actuellement.
(3)
Un exemple : The Cave of Rebirth.
Musicien :
- Tigran Hamasyan : piano, chant, synthétiseurs, Fender Rhodes, effets
(1) Luys I Luso (2015), l'album précédent celui-ci, quant à lui, se penchait sur la musique sacrée arménienne (plus de renseignements ici).
(2) Principalement sur la voix.
(3) Au risque de me tromper, à l'écoute d'un de ces nouveaux titres, il m'a semblé reconnaître des variations autour de mélodies d'un précédent. Il s'agit de « Nairian Odyssey » (sur cet album, donc) et de « The Glass-Hearted Queen » (que l'on trouve sur Red Hail d'Aratta Rebirth, le groupe de Tigran Hamasyan.
Pour ce huitième album, le génial pianiste arménien revient vers le jazz mais de manière plus sobre que dans Mockroot (2014). (1)
Ici, à l'exception de mélodies chantées ou de rythmes également effectués vocalement, c'est au piano et à la dextérité de l'artiste que revient la part belle.
Cependant, Tigran Hamasyan est loin de renier ses autres influences et prend un plaisir évident à les mêler toutes.
Si l'« aspect rock » de sa musique est moins frappant, l'influence de la tradition arménienne ne cède pas un pouce de terrain, quelques effets (2) venant s'ajouter et le talent de composition de l'auteur en font une chose reconnaissable entre toutes.
L'une de celles qui me semblent les plus intéressantes et enthousiasmantes actuellement.
(3)
Un exemple : The Cave of Rebirth.
Musicien :
- Tigran Hamasyan : piano, chant, synthétiseurs, Fender Rhodes, effets
(1) Luys I Luso (2015), l'album précédent celui-ci, quant à lui, se penchait sur la musique sacrée arménienne (plus de renseignements ici).
(2) Principalement sur la voix.
(3) Au risque de me tromper, à l'écoute d'un de ces nouveaux titres, il m'a semblé reconnaître des variations autour de mélodies d'un précédent. Il s'agit de « Nairian Odyssey » (sur cet album, donc) et de « The Glass-Hearted Queen » (que l'on trouve sur Red Hail d'Aratta Rebirth, le groupe de Tigran Hamasyan.
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