(2017 - Humo)
Deux ans après un premier album déjà fort recommandable, (1) les quatre espagnols de Mohama Saz récidivent avec Negro es el poder, en élargissant notablement leur spectre par la présence de nouveaux musiciens et instruments.
Si le rock est la caractéristique principale du groupe, ce dernier cède avec grand bonheur à de très nombreuses influences (2) et nous offre une musique très riche et très inspirée, navigant entre le rock, (3) le jazz-rock et les musiques traditionnelles.
Tous composés par Mohama Saz, chaque titre appelle à être rejoué de multiples fois, les boucles chères à ce style donnant ici l'occasion d'embellissements fabuleux et d'une profusion de détails qui s’accommoderaient guère d'une écoute superficielle.
Si le groupe semble se défendre de proposer une musique de fusion, ça n'en pas moins une à mon sens.
L'album : Negro es el poder.
Si le rock est la caractéristique principale du groupe, ce dernier cède avec grand bonheur à de très nombreuses influences (2) et nous offre une musique très riche et très inspirée, navigant entre le rock, (3) le jazz-rock et les musiques traditionnelles.
Tous composés par Mohama Saz, chaque titre appelle à être rejoué de multiples fois, les boucles chères à ce style donnant ici l'occasion d'embellissements fabuleux et d'une profusion de détails qui s’accommoderaient guère d'une écoute superficielle.
Si le groupe semble se défendre de proposer une musique de fusion, ça n'en pas moins une à mon sens.
L'album : Negro es el poder.
- Adrián Ceballos : batterie, percussions, chant
- Arturo Pueyo : clarinette, saxophone
- Javier Alonso : baglama acoustique et électrique, chant
- Sergio Ceballos : basse, bouzouki, percussions, chant
- Alex Pewlo : santour, tambûr
- Roberto Lorenzo Elekes : trombone
- Dario Santamaria : flûte
- Andrés Freites : percussions
- Rubén, Sara Islan et Demetrio Salas : chant
(1) More Irán (2015).
(2) Européenne et ottomane, pour les principales.
(3) Psyché.
(3) Psyché.
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