(2016 - autoproduction)
Groupe vocal polonais composé de huit femmes, (1) Laboratorium Pieśni nous propose une visite des chants polyphoniques traditionnels des pays des Balkans.
On y retrouve bien sûr les chants bulgares mais la visite comprend de nombreux autres pays (2) et pousse l'auditeur à tenter de retrouver à l'oreille l'origine de chacun.
Solidement portés par des voix puissantes, elles-mêmes parfois accompagnées par divers autres instruments, (3) ces chants souvent entraînants finissent par nous emplir totalement.
Je ne saurais dire quelles parts d'ancien et de moderne se partagent ce disque mais, à mon sens, le mariage des deux passe avec une aisance étonnante.
Le second album du groupe, bien différent, (4) propose également des chants polonais, funéraires cette fois, bien moins entraînants mais tout aussi magnifiques. L'exercice n'étant pas le même puisque les vocalistes sont ici au nombre de quatre.
Si, d'une manière facilement compréhensible, l'écoute du premier se fait plus fréquente, il me semble que l'alternance peut permettre d'accentuer le relief de chacun d'entre eux.
Deux superbes disques qui poussent à se demander quel agréable résultat sortira donc de cet intéressant laboratoire (5) en 2018. (6)
L'album : Rosna.
Musiciennes :
- Iwona Majszyk, Kamila Bigus, Karolina Stawiszynska, Klaudia Lewandowska, Lila Schally-Kacprzak, Magda Jurczyszyn : voix, instruments
(1) C'est ce qu'indiquent les photos du livret mais je ne parviens pas à trouver le nom de deux d'entre-elles...
(2) La Bulgarie et la Bosnie, donc, mais aussi l'Ukraine, la Pologne, la Serbie, la Roumanie, la Géorgie, la Biélorussie, la Scandinavie et probablement d'autres.
(3) Flûte, percussions...
(4) Il s'agit de l'album Puste Noce (2017), que mon robot traduit par « Nuits Vides », alors que, selon la même source, Rosna signifie « Grandir ».
(5) Serviable, le robot me propose « Laboratoire de Chant » pour Laboratorium Pieśni.
(6) Il n'est encore pas interdit de rêver !
Groupe vocal polonais composé de huit femmes, (1) Laboratorium Pieśni nous propose une visite des chants polyphoniques traditionnels des pays des Balkans.
On y retrouve bien sûr les chants bulgares mais la visite comprend de nombreux autres pays (2) et pousse l'auditeur à tenter de retrouver à l'oreille l'origine de chacun.
Solidement portés par des voix puissantes, elles-mêmes parfois accompagnées par divers autres instruments, (3) ces chants souvent entraînants finissent par nous emplir totalement.
Je ne saurais dire quelles parts d'ancien et de moderne se partagent ce disque mais, à mon sens, le mariage des deux passe avec une aisance étonnante.
Le second album du groupe, bien différent, (4) propose également des chants polonais, funéraires cette fois, bien moins entraînants mais tout aussi magnifiques. L'exercice n'étant pas le même puisque les vocalistes sont ici au nombre de quatre.
Si, d'une manière facilement compréhensible, l'écoute du premier se fait plus fréquente, il me semble que l'alternance peut permettre d'accentuer le relief de chacun d'entre eux.
Deux superbes disques qui poussent à se demander quel agréable résultat sortira donc de cet intéressant laboratoire (5) en 2018. (6)
L'album : Rosna.
Musiciennes :
- Iwona Majszyk, Kamila Bigus, Karolina Stawiszynska, Klaudia Lewandowska, Lila Schally-Kacprzak, Magda Jurczyszyn : voix, instruments
(1) C'est ce qu'indiquent les photos du livret mais je ne parviens pas à trouver le nom de deux d'entre-elles...
(2) La Bulgarie et la Bosnie, donc, mais aussi l'Ukraine, la Pologne, la Serbie, la Roumanie, la Géorgie, la Biélorussie, la Scandinavie et probablement d'autres.
(3) Flûte, percussions...
(4) Il s'agit de l'album Puste Noce (2017), que mon robot traduit par « Nuits Vides », alors que, selon la même source, Rosna signifie « Grandir ».
(5) Serviable, le robot me propose « Laboratoire de Chant » pour Laboratorium Pieśni.
(6) Il n'est encore pas interdit de rêver !
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